Ces portraits jouent sur l’ambigüité teint/teinte. Ils sont envisagés comme des surfaces monochromes nuancées par une couleur ombre et une couleur lumière préalablement fabriquées. Chacun d’eux est une tentative de mettre en relation couleur (outrancière) et identité ; de superposer en une même image réalisme et invraisemblance (forme connue et pourtant étrangère).